La fin du monde n’a pas eu lieu, toutefois, l’homme fait mourir la terre à petit feu.
La radioactivité bretonne reste dans les clous tandis que la pollution due à Fukushima se dilue dans l’océan Pacifique au point que les scientifiques mesurent désormais l’impact de la catastrophe au niveau des poissons. Des thons rouges du Pacifique pêchés près des côtes californiennes en août 2011 transportaient des radionucléides échappés de la centrale nucléaire japonaise, d’après les conclusions publiées aujourd’hui par des chercheurs américains dans les PNAS.
D’autres phénomènes inattendus interviennent comme par exemple les résineux qui accumulent et concentrent la radioactivité et sont susceptibles de la re-larguer dans l’atmosphère lors de feux de forêts.
Le froid intense qui sévit actuellement au Japon provoque le gel des conduits de refroidissement installés après la catastrophe et provoque de nombreuses fuites faisant craindre une nouvelle catastrophe d’une toute autre ampleur que la précédente… De plus nul ne sait ou se trouve actuellement le corium.
Pas très rassurant tout çà pour la nouvelle année 2013.